Alors que le Président de la République a soutenu lors de son discours à Trémery le 27 mars 2015, l’idée selon laquelle « les moteurs diesels les plus récents sont les plus performants en matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre » ; son Premier ministre avait quant à lui déclaré quatre mois plus tôt lors de la clôture de la troisième Conférence environnementale, le 28 novembre 2014, que « privilégier aussi longtemps le moteur diesel a été une erreur » et qu’il faut « progressivement revenir dessus avec intelligence et pragmatisme ».
Qui doit-on donc croire ? Il y a là de quoi péter une durite.